« Une chaise et un chapeau comme unique décor, Stan entre en scène en dansant sur un air de Michael Jackson pour emmener le public dans ses propres univers.
Au gré du spectacle, l’artiste aux multiples talents joue admirablement avec les mots et les personnages qu’il incarne.
De la Joconde à la Vénus de Milo, de « l’homme enceint » au rappeur avéré, il met l’humour de manière subtile
au service de la poésie de Rimbaud ou d’Edmond Rostand, avec une interprétation rappelant celle de Raymond Devos
et la verve de Fabrice Luchini…
Stan danse et fait danser les mots…
L’expression corporelle tient d’ailleurs une place importante dans son spectacle…
La poésie dansée qu’il offre sur scène en est, aux dires des spectateurs, la plus belle des preuves. »