La Farlodoise
J A Y P E E D U O
Ni 100% blues, ni complètement rock, ni totalement folk… C’est ainsi que l’on pourrait caractériser la musique de Jaypee, en formule duo, sans fioriture : guitare chant / batterie, allant à l’essentiel pour une expérience où le Rock se taille la part du lion.
Pour la petite histoire…
Au départ, c’est un one man band, Jaypee-Jaypar, d’abord pour le plaisir en 2015 qui se professionnalise en 2019 à la sortie de « Meet me Again ». De cafés-concert en salles plus importantes, l’artiste solo prend son envol autour de Lyon puis rayonne de plus en plus loin, ouvrant pour des artistes de renommée nationale et internationale (Olivier Gotti, Félix Rabin, They Call Me Rico, Bombino, Reverand Beatman, Bror Gunnar Jansson, Bernhoft,…)
Dans la continuité de l’enregistrement de l’album « metamorphosis » sous le nom de JaCOB (Jaypee & the Cannibal Orgasmic Band) en quintet, Jaypee lance la formule en duo, taillée pour le live, accompagné de Rémi Dulaurier à la batterie. L’aspect rock et rugueux y est privilégié pour un set sans fioritures.
LINE-UP DUO :
Jaypee : Guitares, chant
Rémi Dulaurier : Batterie
LES METAMORPHOSES DE JAYPEE
Le dernier album « Metamorphosis » (et le premier en groupe) sort le 21 janvier 2022. C’est le fruit de 2 années de composition et le fruit d’une collaboration étroite entre Jaypee, les musiciens et Fréderic Pellerin (They Call Me Rico), chargé de la direction artistique.
En découlent 10 titres oscillant entre Blues, Rock, et Folk, voire Dark Folk, laissant planner l’ombre d’un Metal/Doom jamais bien lointain, sans jamais se montrer au grand jour (mis à part au niveau de l’Artwork). On pense à Léonard Cohen, Nick Cave ou Calvin Russell dans les profondeurs de la voix (Lonesome Bastard), en allant vers du Tom Waits quand celle-ci s’éraille et s’énerve (Another Summer Day in France). Musicalement, on se retrouve dans la BO d’un Western moderne (The Ballad of Black Bart), navigant entre Tito & Tarantula (The Loser Song), Steve Von Till ou Me & That Man (Rain, In My Realm), allant même jusqu’à imaginer des courses poursuites en grosses cylindrées sur les riffs beaucoup plus Rock de I’m Coming for You ou Son of a Bitch.